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ERIC EBEN : LA DÉCONTRACTION PRODUCTIVE 04.05.2023

Diplômé de l’école d’Architecture Lambert Lombard à Liège, Éric Ében s’est rapidement orienté vers le secteur de la sécurité et de la santé au travail avec un Degré Complémentaire de niveau 2 en Sécurité et Hygiène au Travail. Coordinateur sécurité et santé depuis 2001, il a rejoint SéQ dès sa création en 2012 en tant que chef de projet. En 2019, il est devenu associé-gérant de la société, avec toujours la même philosophie : faire un travail rigoureux et de qualité, dans une ambiance agréable.

Comment avez-vous rejoint SéQ ?

De la meilleure des façons : grâce à une discussion entre potes ! Jean-Philippe Cailteux et Michaël Debaty, qui avaient déjà créé QBuild, m’ont demandé si j’étais intéressé de rejoindre leur nouvelle société, SéQ, en tant que chef de projet. J’avais envie d’une nouvelle expérience professionnelle, dans une structure qui me permettrait à la fois de faire un travail sérieux et épanouissant. J’ai embarqué dans l’aventure, et je n’ai pas eu à le regretter !

J’ai été témoin de la croissance et de la diversification de SéQ. À l’origine, nous assurions principalement des missions de coordination sécurité et santé. Aujourd’hui, nous réalisons aussi des plans d’évacuation et des plans d’intervention, nous assistons les travailleurs désignés, nous menons des exercices d’évacuation, etc. Tout cela pour des clients de toutes les tailles. Et toujours avec cette envie de travailler bien, dans une bonne ambiance.

En quoi consiste votre travail aujourd’hui ?

De par ma fonction, je m’occupe désormais beaucoup des aspects organisationnel et commercial de la société. Mais je gère aussi certains projets, afin de garder le contact avec le terrain. C’est d’autant plus important que le secteur ne cesse d’évoluer.

En vingt ans, comment le secteur a-t-il changé ?

De manière très positive ! Lorsque j’ai commencé ma carrière, les mesures de santé et de sécurité étaient souvent perçues comme des dépenses inutiles, et les personnes chargées de les faire respecter, comme des gêneurs. Depuis, il y a eu une vraie prise de conscience, aidée entre autres par une Administration de plus en plus efficace. À présent, les entreprises placent ces questions au cœur même de leurs démarches et de leurs projets, au quotidien. Le contact entre toutes les parties est beaucoup plus constructif et efficace, au bénéfice de chacun.

Pour finir pouvez-vous partager une anecdote de travail ?

C’était à l’époque où j’étais chef de projet, et SéQ était une toute petite structure. Un jour, en fin d’après-midi, j’ai été appelé dans le bureau de la direction « pour une affaire urgente ». Lorsque je suis arrivé dans la pièce, les directeurs étaient là, avec une bonne bouteille. C’était en fait l’anniversaire de la création de SéQ… Voilà ce que j’appelle la décontraction productive !